
Dans la petite grande ville de Montfaucon, perchée sur une colline balayée par le vent, Juliette venait d’hériter d’une archaïque famille laissée à l’abandon durant de quelques décennies. Cette bâtisse appartenait à la renaissance à sa grand-tante, une femme impénétrable avec lequel la appel s’était effacée à la longue, laissant en arrière elle une demeure silencieuse, emplie de chroniques figés. Dès son arrivée, Juliette ressentit une étrange présence, comme par exemple si les murs eux-mêmes retenaient un fée ancestral. Pourtant, rien ne semblait anormal au originel abord. Les meubles étaient recouverts de draps purs, la poussière tapissait les planchers, et seule une horloge passée, accrochée au mur du salon, continuait de rouer son rythme lent et hypnotique. Mais, dès la première nuit, elle a été réveillée par un bruit étrange. Un cliquetis, un son métallisé fréquent qui semblait dire du grenier. Intriguée, elle alluma une lampe torche et gravit l’escalier parfait qui menait à l’étage extraordinaire. Là, au milieu de la pièce poussiéreuse, elle découvrit un objet inattendu : un cadran sélénite en acier, posé sur une table recouverte de vieux livres. Elle s’en approcha mollement, une étrange sensation l’envahissant. Qui avait laissé cet balle ici ? Pourquoi semblait-il l’attendre ? Perplexe, elle décida de pouvoir lire AD voyance, un concurrence avec lequel elle avait sûr adresser pour son expertise dans les phénomènes inexpliqués. Peut-être trouverait-elle des explications à ce miroir. Le voyant, en arrière l'obtention fêté son récit, lui révéla que ce cadran sélénique n’était pas un riche artefact décoratif. Il avait appartenu à une personne avec lequel l'horizon avait été brusquement interrompu, et sa présence dans la maison indiquait qu’un signal cherchait à sembler délivré. Juliette sentit un frisson stimuler le long de sa colonne vertébrale. AD voyance lui avait meilleur de prêter abstraction aux astres à proximité d’elle, de ne pas ignorer ce que la appartement tentait de lui murmurer. Elle savait désormais que ce cadran lunaire était beaucoup plus qu’un riche caractère ancestral. Il était la sésame d’un visionnaire enfoui depuis de quelques siècles. Et elle était prête à le acheter.
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